Le mot de mon éditeur : “C’est très bien écrit avec parfois des images excessives qui surprennent. Bravo !”

• Une critique dans la rubrique littéraire du Mag du Ciné :

https://www.lemagducine.fr/a-lire/actu-livres/la-saison-sauvage-de-sarah-anthony-avis-10054693/

• Une critique par l’écrivain Maggy De Coster dans Le Pan poétique des muses (revue littéraire de l’université de Grenoble) :

http://www.pandesmuses.fr/megalesia23/mdc-anthony-saisonsauvage?fbclid=IwAR25unWiULt_NYYqzIw5eoey3xREutxwnZna-xi_kd-Ls6Ip5sm0qo5YKQs

• Une critique par le comédien Lorenzo Paquola :

Mistral dans les cheveux, dans les champs dorés le regard se perd, le parfum des fleurs sauvages humecte l’air sec et le soleil omniprésent ancre ce paysage dans l’imaginaire. Voila le premier contact que Sarah Anthony offre au travers de sa Saison Sauvage. 
L’épopée de Salomé nous emporte au fil de rencontres et de réflexions mystiques. Elle, évolue dans une peinture où l’esprit du village existe encore avec ses règles et son rapport dilaté au temps. Agissant aux antipodes de la frénésie urbaine, des cafés tapageurs et des rues bondées ou l’air vient à manquer. Ce récit est au delà d’une simple bouffée d’air c’est un déplacement qui s’opère dans le conflant de notre être, un voyage initiatique et éclatant dans la Campane. 
La mer ne semble pas si loin et on se rappelle cette liberté enfantine d’aller sans coup férir se perdre dans les bosquets, marcher longuement sur un chemin rocailleux pour retrouver son ami, son âme sœur, dans sa maison qui est une roulotte. Un souci du détail quasiment impressionniste imprègne chaque mot et expression que l’écrivaine semble avoir choisi avec un soin méthodique, jusqu’à devenir des vers remplis de perles de sagesse. 
Là réside toute la force du récit de Salomé qui loin de ne raconter qu’une histoire témoigne de mœurs anciennes et puissantes dans un cadre cristallisé hors du temps. Un témoignage nécessaire car rempli de vitalité, de la magie qui fait tourner le monde depuis les temps immémoriaux. Sarah Anthony s’adresse à notre âme souterraine, l’alma subterrannea , ravive les souvenirs d’aieux magiciens, rebouteuses cachant des yeux d’horus et des nazar boncuk dans leurs poches et dont le sang exaltent des pulsions sauvages d’évasion. Au fur et à mesure on sent qu’une force oubliée ressurgit de nos entrailles, un appel lointain se fait entendre de plus en plus fort, sourd il gronde depuis les tréfonds de l’âme et l’on se retrouve au contact d’une entité qui cherche à rétablir des connexions oubliées mais jamais disparues, l’essence des peuples méditerranéens.

• Un article par la ville de Vouvray dans son magazine Vivons Vouvray :

• Ajout de mon roman dans le catalogue de la bibliothèque de Tours :

• Présentation de mon roman au Salon littéraire Quartier du Livre (du 31/05/23 au 7/06/23, mairie du Vème arrondissement, Paris)

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Lire un extrait du roman :

Lire l’extrait ci-dessous : 9 pages, © Tous droits réservés. 
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Découvrir les personnages

Ces portraits ont été réalisés dans le cadre d’une exposition sur le thème du roman à la Maison du Don d’Aix-en-Provence de janvier à mars 2023.